L’effet de la pollution sur l’écologie
Au début des années 2,000, les Nations-Unies demandèrent aux scientifiques quels moyens ils proposeraient pour que l’équilibre entre l’homme et la nature reviennent et pour que cesse la destruction par l’exploitation ou par la pollution. La réponse des savants fut très claire: <<La nouvelle manière de faire, c’est l’ancienne manière.>>
Allez demander aux autochtones (aborigènes de toute nation) de quelle manière leurs traditions ancestrales ont survécu au fléau de cinq cents ans de domination par l’homme blanc? Ils vous répondront qu’ils ont su respecter la nature en ne la détruisant pas. C’est la réponse qu’ils donnent à ce même homme blanc qui se demande de quelle façon remédier à son erreur d’entrepreneur-exploiteur et de pollueur?
En avril 1994, un bison blanc est né à Jacksonville, au Wisconsin U.S.A. Le fait de naître blanc, pour un bison, semble être impossible, le fait est si rare et si extraordinaire qu’il a été unique dans l’histoire. Aussi, a-t-il été publicisé par les anciens indiens. Cet animal, d’une autre couleur, est symbole des changements qui nous attendent.
Eh oui! les indiens de par le monde, persécutés, massacrés ont disparu, dans une proportion de 96% parce que l’Homme a voulu occuper leurs territoires. Pourtant, ils connaissent la réponse et sont prêts à sauver la planète de la dévastation par l’homme moderne, grâce à leur respect ancestral de la nature. C’est le cas, surtout, des traditionalistes. La planète est comme une mère qui porte toute vie; c’est pourquoi chacun doit la respecter. Nous n’arrêtons pas l’exploitation des forêts vierges tropicales, cette réserve d’oxygène à 50%. Il y a pourtant mille acres de ces forêts détruites chaque jour, ce qui équivaut à trois millions d’hectares par année. C’est un non-sens. De plus, que dire de nos forêts boréales occidentales coupées comme bois de sciage, de construction et pour le papier? Et la disparition des animaux? Plus de mille espèces disparaissent chaque année. Et que dire de la surpêche commerciale? Des baleines qui échouent sur la plage, en raison des changements magnétiques. À
quoi sert cette tuerie qu’est l’exploitation, tuerie qui provoque le désordre dans la nature, la pollution? Comme le corps humain se compose de 80% d’eau, c’est donc dire que contaminer les rivières, les lacs et les océans, c’est signer l’extinction de l’être humain. Voilà ce que les indiens d’Amérique et les aborigènes bafoués depuis des siècles, sont prêts à dire.
Saviez-vous que le 22 avril de chaque année est la journée de la Terre. Cette date a été bien définie sur le calendrier mondial. Afin de garder en mémoire cette journée et de poser une action pour sauver l’environnement, il faudrait écrire le 22 avril en relief sur ce calendrier. C’est sans aucun doute très important. En effet, la déesse de la Terre, Gaia, est vivante mais malade, parce qu’elle est attaquée par un détraqué dénaturé. La vie de Gaia c’est notre vie. Nous sommes en danger de mort. L’homme doit respecter la vie sous toutes ses formes (minéral, végétal, animal). Le plus petit brin d’herbe vivant porte la vie, et le plus grand arbre aussi. La survie de l’humanité dépend du respect de toute forme de vie, et ce, à l’échelle de la planète. La vie sur notre planète n’étant pas assurée indéfiniment, quoi qu’il arrive, chacun des gestes posés par chaque individu et chaque entreprise est primordial pour l’environnement. Il faut que chacun fasse sa part! Éliminons le processus de destruction de la planète!
Quoi faire? D’abord, il faut penser de manière holistique. Il s’agit ici d’établir l’harmonie et l’équilibre entre le corps-coeur-cerveau. Bref, pratiquer l’amour et la compassion dans la vie. Ensuite, il faut agir: recyclons! Enfin, évoluons intelligemment, de manière à maintenir la santé des gens et à favoriser l’écologie. Alors, un avenir sera assuré à la grandeur de la majestueuse planète bleue.
À quand la propulsion des véhicules motorisés avec autre chose que cette pourriture de pétrole, ce carburant fossile? Qu’attendent la N.A.S.A. et les compagnies responsables pour mettre sur le marché un carburant à l’hydrogène, qui permettrait aux automobiles de produire un gaz d’échappement aussi pur que l’air des Rocheuses nord-américaines. Certains prévoient que ce sera l’hydrogène. Quand ? Demandons à ces compagnies exploiteuses et mercantiles, qui attendent l’épuisement des stocks de pétrole, de nous conduire dans cette ère nouvelle et révolutionnaire.
Les plastiques, surtout ceux qui ne sont pas recyclables, sont là pour demeurer encore pendant plusieurs générations; ils sont à base de pétrole, le pétrole qui pousse les pays à s’entretuer pour l’obtenir. Et bientôt, l’éthanol, dérivé du mais ou de la canne à sucre, sera le carburant employé par l’industrie et par l’individu pour son automobile. Saviez-vous que les plus grands pollueurs de l’air, mis à part le monde industriel, sont les automobiles? Il existe 650 millions de véhicules motorisés en circulation actuellement sur la terre. C’est énorme! Et la Chine, qui prisait tant la bicyclette, veut maintenant des voitures! Ne croyez-vous pas qu’il nous faut chercher les moyens qui ne produiront plus de pollution, ou presque plus, à petit prix? Protégeons l’environnement! À quand la voiture électrique? Ce n’est pas pour bientôt! Le solaire et l’électricité semblent présentement trop coûteux pour transformer le moyen de transport quotidien du consommateur. Toutefois, les Japonais et les Québécois ont mis au point une voiture électrique.
Depuis l’apparition de la vie sur la Terre, l’intelligence humaine a dû faire face à toutes sortes de fléaux. Alors, chaque fois, l’A.D.N., matière vivante intelligente dont nous sommes tous le résultat, a toujours déclenché de nouvelles connexions dans le cerveau humain, pour permettre à l’Homme de régler ses problèmes et d’accéder à une nouvelle étape de son évolution. En effet, le nombre de circuits du cerveau accessibles par notre système nerveux est illimité. C’est étape après étape que l’Homme explore ses circuits et les utilise pour assurer ses apprentissages de sa conscience de la collectivité. Par exemple, il apprend à marcher avant d’apprendre à écrire. Parmi les apprentissages les plus achevés de l’homme, on doit mentionner le développement. À cet égard, la conscience collective des humains a un impact positif sur le comportement, dès que l’être humain a appris à donner de l’importance aux autres; il tire profit rapidement de cette ouverture vers les autres. Par exemple, il apprend des autres, il échange. Ce qui lui fait du nouveau. Ainsi, chaque époque possède son lot de découvertes. Cela vient alors comme une révélation qui excite l’Homme et le motive. Il y a des personnes, et leur nombre augmente sans cesse, assez intelligentes pour avoir deviné la future préoccupation de l’humanité: l’amour et la compassion pour les autres, l’énergie du coeur. Parvenir à cet amour et à cette compassion et, conséquemment, changer les mentalités sera bientôt une réalité pour tous. Ce n’est qu’une question de temps.
Le plus grandiose domaine à découvrir, c’est l’espace. Serait-il enfin à notre portée? C’est parti pour cela, n’est-ce pas? Gaia se meurt comme les baleines des océans, et la couche d’ozone diminue dangereusement, en amenant d’autres problèmes sur terre. Les calottes glacières fondent également. Par exemple, on constate qu’il y a une augmentation des cancers de la peau et un réchauffement de la planète de un degré Celsius par dix ans, au lieu de un degré Celcius par cent ans, comme avant l’ère industrielle. Cependant, la stratosphère autour de la planète va équilibrer ce problème dans le présent siècle. Conséquemment, nous devons tous adhérer à la défense de l’environnement, à la commercialisation par réseaux écologiques. Nous devons faire en sorte d’éviter les accidents de pétroliers géants qui déversent des nappes de pétrole dans la mer, détruisant ainsi la flore et la faune à des milliers de kilomètres à la ronde. À quand la double–coque de fond pour ces pétroliers, tueurs de vie? Et que dire des déraillements de chemins de fer et de ces longs trains de marchandises, bourrés de produits chimiques? Ils sont un danger mortel pour les populations environnantes et des pollueurs potentiels manaçants, du coup: la couche phréatique souterraine.
Maintenant que l’arsenal nucléaire commence à être réduit, pourra-t-il servir uniquement à nous protéger des météores géants qui se dirigeraient vers notre planète? C’est sa seule utilité écologique, mais on le garde, comme outil de persuasion politique, territorial et idéologique (ex: les États-Uni et la Corée du Nord par exemple ou l’Iran). Cent sous-marins nucléaires pourrissent au fond de l’océan Arctique actuellement. Que font les gouvernements?
De plus, les déchets nucléaires déposés dans des contenants supposés étanches à la radiation ont été pendant longtemps jetés carrément à la mer dans des barils ordinaires ou doublés. Et que
penser de la multitude de camions-citernes qui se déversent sur la route, à cause des liquides qui débalancent le centre de gravité. Ces
accidents laissent s’écouler le pétrole néfaste à l’environnement. Que penser aussi des centrales nucléaires fissurées, des pipelines, des oléoducs et des gazéoducs perforés de l’ancienne U.R.S.S.? Enfin, les autorités acheminent-elles tous les déchets biomédicaux dans les incinérateurs appropriés?
Malgré cet état de fait, on constate un certain progrès. Si les villes utilisaient les systèmes d”égouts et les déchets à bon escient, elles auraient, certes un meilleur contrôle de l’impact des scories sur l’environnement. À quand l’usage des plantes des jardins japonais pour filtrer les eaux souillés et les rendre potables sans produits chimiques? D’autres actions doivent être entreprises. Aujourd’hui, on recycle les pâtes et les papiers, le verre, le plastique, le métal, de même que les pièces électroniques. Les méga projets hydroélectriques, laissés sans surveillance antiterroriste, noyant les terres sauvages produisent azote et méthane dans l’air, sont des causes de pollution. On se plaît à nous dire, aux quatre vents que le Québec produit de l’énergie propre. Quelle aberration! À quand la prolifération des fermes d’éoliennes? Recycle-t-on les routes, du Québec, qui sont en si piteux état? Pourquoi pas avec de vieux pneus recyclés mélangés à l’asphalte? Ils serviraient à quelque chose d’utile, au lieu de pourrir dans les dépotoirs municipaux. Le budget alloué aux routes, depuis une vingtaine d’années, a permis, au parti politique de l’époque, à promouvoir leur idéal et leur lavage de cerveau. L’état actuel des routes ressemble à un après-guerre. Penser écologiquement ou mourir! Le futur de l’Homme est là!
Comme nous l’avons déjà dit, la prochaine étape est annoncée, c’est l’espace. Nul ne peut douter aujourd’hui du potentiel qu’il offre pour étudier la planète, afin de trouver des moyens de survie. www.canbec101.com